Juillet 2021 – Résumé
Conduits dans un temps de communion intime et d’expansion dans le coeur du Père, notre prière s’est accordée à Son désir de voir le corps des saints vivant et fonctionnel, uni de coeur et de pensée, un dans l’Esprit, chacun fonctionnant dans son identité, positionné en tant que sentinelle. Pleinement tournés ensemble vers le nouvel horizon, nous célébrons la bonté et les merveilles de notre Dieu. (Pasteur)
Dans la beauté de Sa sainteté, notre Dieu règne en autorité et en majesté. Il est digne de recevoir notre adoration en esprit et en vérité alors que, proskuneo devant Sa face, nous sommes partenaires dans le cycle de Ses voies, prompts à obéir à Sa voix, à émerger de la confusion de ce monde, Lui qui redresse, au sein de Son armée, ce qui a besoin de l’être. Véritablement, Il est notre espérance, notre vie et notre joie ! (Enseignant)
Reconnaissants au Seigneur de nous façonner dans l’humilité, se laisser presser et transformer est notre style de vie et le témoignage de Celui qui nous habite. Puisse Sa lumière en nous, attirer les affamés, manifester l’abondance de Sa provision et Sa victoire éternelle ! (Prophète)
Au milieu des danses et de la réjouissance, dans une incroyable liberté et comme dans l’anticipation de la percée sur le point de se manifester, nous déclarons Son dessein et la venue de Son règne, intercédant en vue de la restauration des lieux de ténèbres et d’obscurité à Sa volonté éternelle. (Evangéliste)
Dans cette saison si vitale et cruciale, nos cœurs demeurent fixés sur le Seigneur et sur Ses voies. C’est le temps de remuer notre foi et notre agape pour Le poursuivre avec feu et passion dans la prière, de voir avec Ses yeux ce qu’Il désire faire dans notre pays en nous laissant remplir de Sa volonté, prêts en tant que fils et saints, consacrés à Son oeuvre. (Apôtre)
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Juillet 2021 – Rapport
Au début, je ressentais le poids des conflits et de la violence qui habitent l’atmosphère du monde et j’ai entendu : “Lemek” (que l’on trouve en Genèse 4: 19-24) puis je me suis retrouvée dans un palais royal, j’ai vu des femmes orientales, très belles, qui dansaient, tournoyaient en élevant des tentures de couleurs orange, rouge, pourpre… je suis montée et je me suis retrouvée en haut d’une tour, je priais fondée dans mon identité de sentinelle. J’ai vu au loin un cheval blanc, il bougeait avec grâce, comme dans une danse, je n’ai pas vu qui le montait mais en arrière-plan, devant lui, des ombres qui se battaient, un champ de bataille.
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Vision d’un grand navire blanc qui arrivait de face puis vision d’un combat, une sorte de diablotin rouge qui était chassé. Ensuite, vision d’une bougie allumée, puis j’ai vu une meurtrissure, une plaie dans la chair et à la fin, vision des raisins dans le pressoir.
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Pendant ce temps de prière, l’Esprit m’a amenée au passage de Noé dans
Genèse 8 :6-12 Au bout de quarante jours, Noé ouvrit la fenêtre qu’il avait faite à l’arche. Il lâcha le corbeau, qui sortit, partant et revenant, jusqu’à ce que les eaux eussent séché sur la terre. Il lâcha aussi la colombe, pour voir si les eaux avaient diminué à la surface de la terre. Mais la colombe ne trouva aucun lieu pour poser la plante de son pied, et elle revint à lui dans l’arche, car il y avait des eaux à la surface de toute la terre. Il avança la main, la prit, et la fit rentrer auprès de lui dans l’arche. Il attendit encore sept autres jours, et il lâcha de nouveau la colombe hors de l’arche. La colombe revint à lui sur le soir ; et voici, une feuille d’olivier arrachée était dans son bec. Noé connut ainsi que les eaux avaient diminué sur la terre. Il attendit encore sept autres jours ; et il lâcha la colombe. Mais elle ne revint plus à lui.
Ainsi que dans le
Cantique des cantiques 2 :10-14 Mon bien-aimé parle et me dit : Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens ! Car voici, l’hiver est passé ; La pluie a cessé, elle s’en est allée. Les fleurs paraissent sur la terre, le temps de chanter est arrivé, et la voix de la tourterelle se fait entendre dans nos campagnes. Le figuier embaume ses fruits, Et les vignes en fleur exhalent leur parfum. Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens ! Ma colombe, qui te tiens dans les fentes du rocher, Qui te caches dans les parois escarpées, Fais-moi voir ta figure, Fais-moi entendre ta voix; Car ta voix est douce, et ta figure est agréable.
Comme Noé a envoyé la colombe au-dessus de la terre recouverte d’eau, nous sommes envoyés comme “au-dessus” de cette pandémie qui recouvre les nations, pour parcourir la terre avec les Yeux et le Coeur du Seigneur cherchant Son Temps parfait pour accomplir Sa Volonté, cherchant dans l’Agape ce qu’Il désire faire et comment Il désire le faire. Certaines colombes se sont assoupies dans la confusion de ces temps et dans l’attente qui dure (confinement, déconfinement etc.…), mais le temps est venu de se réveiller et de secouer le plumage et les ailes de notre amour, de notre foi, de notre service passionné pour la
nouvelle saison qui vient.
Son Amour crie à notre amour, qu’un écho résonne plus que jamais de nos cœurs.
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Au milieu des ténèbres qui nous entourent, j’ai ressenti une telle percée, un changement d’atmosphère dans une incroyable liberté, dans l’éclat de Sa lumière, dans la beauté de Sa majesté !
La voix de l’Eternel retentit sur les eaux… La voix de l’Eternel est puissante… Dans son palais tout s’écrie : Gloire ! (Psaume 29) Notre Dieu Elohim, l’Eternel Yahvé règne !
Quel privilège nous avons en tant que fils et saints d’être partenaires dans Ses voies ! L’Esprit me rappelait que nous sommes appelés à régner avec Christ ! Dans l’adoration, il était question de Lui et de la restitution des dépôts de Sa gloire sur la terre. Et la lumière jaillissait à certains endroits avec la créativité, dans une incroyable liberté où tout est possible. Et Son souffle donnait la vie et Sa Parole dans nos bouches parcourt la terre, faisant jaillir la lumière du sein des ténèbres, ouvrant les trésors de Sa provision dans ce temps où Il nous invite à être attentifs à Sa voix, précis et prompts dans notre réponse. Véritablement, Il est notre espérance, notre vie et notre joie !
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Un moment assez particulier ce samedi dans la prière d’intercession, je ne pouvais me défaire de l’idée que le Père recherche des fils et des filles qui L’adorent en esprit et en vérité. “Fils et filles” étant des individus qui se “proskuneo” non seulement dans la prière mais leurs vies même personnifient cette position. Ils ont soif de Le connaître. Ce sont des gens qui se sont consacrés aux Sept Esprits de Dieu car on ne peut arriver à l’Esprit de Vérité et de Filiation sans passer par les 6 Autres.
Je remercie Dieu Le Père pour vous, Saints et je prie qu’à travers le témoignage de vos vies, d’autres soient attirés au Père.
Jean 4 :23-24 23 Mais l’heure vient, et elle est déjà venue, où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité ; car ce sont là les adorateurs que le Père demande. 24 Dieu est Esprit, et il faut que ceux qui l’adorent l’adorent en esprit et en vérité.
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Pendant notre temps d’intercession, j’ai vu et j’ai eu l’impression du corps des saints comme d’un organisme unicellulaire vivant, palpitant, respirant, fonctionnant, uni de cœur, uni en pensée et un dans l’Esprit.
Chacun fonctionnant comme le Seigneur l’a ordonné, tout en évoluant parfaitement dans la volonté et le dessein de Dieu, avec un seul but.
Un corps vivant et fonctionnel, soumis et sous la direction de l’Esprit du Seigneur.
J’ai ressenti que mon intercession était une supplication pour la naissance de cette intention du cœur du Seigneur.
Plus tard, j’ai lu le chapitre 1 d’Ézéchiel.
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-Au début très beau chant d’Amour du cœur du Père pour ses fils et ses filles.
-J’ai entendu : N’ayez crainte Je vous ai tout donné à la croix, vous avez tout reçu.
-Puis un combat ensemble très puissant.
-A la fin de la prière, j’ai vu la France couleur blanc laiteux dans le ciel, elle était entourée de sombres nuages.
-Je me promenais au milieu des fleurs avec des actions de grâces.
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– Au début le fond de l’air était lourd, pesant et ténébreux.
– Puis j’ai vu la couleur violette qui a tout déclenché et ensuite la couleur rouge après un grand combat, les ténèbres sont parties.
-J’ai vu la terre, elle était comme une toupie qui tournait sur elle-même puis elle devenait comme un tout petit point en disparaissant.
-J’ai entendu : c’est la fin d’un monde.
-Puis au son de la musique des anges tout est devenu Blanc brillant et or, c’était vraiment glorieux avec une atmosphère de sainteté et de pureté.
-Puis un arc en ciel est apparu.
– Mon cœur était tellement rempli de reconnaissance proclamant et chantant combien Dieu notre Abba est si merveilleux.
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-Au début, j’ai ressenti l’Amour avec Jésus.
-Puis avec une voix plus grave j’ai pu entendre les voix des enfants perdus crier au sein des ténèbres. Je ressentais les grands frissons de la mort. La voix du ciel répondait dans l’intercession.
-Danse de joie et de victoire dans le ciel, la vie abondante revenait sur tous ces ossements !
-Je chantais des Alléluia de gratitude.
-Elargissement.
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-Elargissement, ce ne sont vraiment plus nos capacités, nous plongeons dans un tout autre niveau une plus grande profondeur du Cœur du Père ! Le Seigneur disait ce ne sont plus tes forces, c’est maintenant une toute autre phase que tu vas découvrir avec Moi beaucoup plus facile.
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– Un Vent Saint de feu s’est mis à souffler encore plus puissant découvrant et mettant à nue des grosses coulées de ténèbres sortant de la bouche de certains intercesseurs qui ne voulaient plus avancer dans ces nouveaux niveaux. Je me voyais un peu comme dans l’armée au moment de la revue des troupes pour ordonner et redresser ce qui n’était pas dans l’alignement et empêchait la troupe de marcher ensemble d’un même cœur dans ce nouveau niveau.
-Je pouvais ressentir une grande tristesse en voyant le cœur de ces guerriers critiquant encore et se trompant encore de cible !
Puis soudainement 3 d’entre nous sommes partis dans un combat très puissant, le Lion de Juda a rugi longtemps jusqu’à la victoire.
Puis je vis les mains du Père comme un grand chirurgien ouvrant le thorax d’une personne pour en sortir le cœur et le masser puissamment. Des anges chirurgiens enlevaient des taches noires de nécrose. J’assistais à une opération à cœur ouvert.
Je recevais ce texte :
Ezechiel 11:19 Je leur donne un même cœur, Et je mets en vous un esprit nouveau;
J’ôte de leur corps le cœur de pierre, Et je leur donne un cœur de chair.
Une grande crainte de Dieu s’est installée.
Puis j’ai entendu les ténèbres recouvrent toute la terre mais sur vous, mes fils et mes filles je fais lever ma Gloire, transformation, transfiguration.
Merci Notre Abba toujours bon avec nous, nous t’honorons et te remercions, tu prends soin de nous en nous amenant à travers la vraie repentance à nous détourner des mauvaises voies.
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Je me suis allongée pour prier et bien que d’habitude je me sente face au Père, cette fois-ci, je me suis fortement sentie face au Père, au Fils et à l’Esprit. Immédiatement, je me suis sentie poussée à me lever et à danser dans la louange pour les choses merveilleuses que le Père a faites. Je sentais qu’Il voulait que je danse. Je n’avais pas de musique et je ne fais pas cela normalement, mais j’ai ressenti (à ce moment-là et dans la prière les jours suivants) que c’était quelque chose que les générations ont fait pendant des milliers d’années et que – comme pour la danse à ce moment-là – Il me conduirait en toutes choses, même lorsque je me sens maladroite et gauche, et qu’Il me montrerait comment faire les nouvelles choses qu’Il désire de moi. Lorsque je me suis allongée à nouveau pour prier, une forte présence du Père, du Fils et de l’Esprit était toujours là et est restée pendant tout le reste de mon temps de prière.
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